1870 — L'EXCELLENCE POUR HÉRITAGE
C'est en 1870 que les premiers ateliers familiaux d'orfèvrerie sont installés rue des Haudriettes à Paris.
En 1895, Charles et Louise Tirbour, jeunes mariés reprennent l'affaire venant d'un parent éloigné, une orfèvrerie crée en 1810. Le métier tient pour art la fabrication de services de table en tous genres, coutellerie, ronds de serviettes ou encore timbales.
1921 — UN MARIAGE D'ORFÈVRES ET DE JOAILLIERS
En 1921, leur Fille Suzanne épouse Roger Copin, joaillier, dont les ateliers sont situés dans le même immeuble, en pleins Marais à Paris, que ceux de l'orfèvrerie — ce qui amène tout naturellement Mme Copin à superviser les deux affaires qui ont une clientèle commune.
Sa scolarité terminée, leur fils Michel apprend le métier à l'atelier, s'initiant aussi bien au travail de l'argent que de l'or. Il entreprend des études de gemmologie (étude des pierres) et est nommé expert judiciaire en 1971.
1969 — AU CŒUR DE PARIS
En 1969, Michel Copin quitte le Marais et s'installe au Palais Royal, au 161 rue Saint-Honoré,
adresse Parisienne emblématique.
L'excellence technique et créative lui vaut d'être reconnu par ses paires et lui permet de mettre en avant la Maison à travers des créations de haute-joaillerie exceptionnelle.
Comme semble le vouloir la tradition familiale, sa femme Bernadette, participe alors à la gestion de la société.
1992 — UNE HISTOIRE DE FAMILLE
Quelques années plus tard, une de leur fille Anne, entre à son tour dans le métier et inaugure la cinquième génération.
C'est en 2020 que la 6ème génération prend le relais à travers l'un de ses fils et un ami, Adrien et Alexandre.
2022 — UNE NOUVELLE ÈRE
Indépendante et libre, la Maison Copin souhaite faire rayonner le savoir-faire français de la
joaillerie, loin des diktats du marketing contemporain et de la production de masse.
Depuis 2022, la Maison Copin fusionne le riche héritage et la nouvelle vision brute et inclusive de Sajina Dutertre, nouvelle directrice Artistique.
Sa vision reflète le savoir-faire artisanal et la modernité, permettant une démocratisation de
l'univers de la Haute-Joaillerie Parisienne, trop souvent difficile d'accès.
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